La Suède, un pays plein de surprises...

Actualité rédigée le 20 Dec 2017 par Maxime AUBERT.

 Cet été, avec ma chérie, nous avions besoin de vacances reposantes et loin de la foule. Préposée aux vacances, Pauline me propose après quelques recherches, la Suède. Pays réputé pour sa nature préservée et ses habitants « proches la nature ». Bien que ces vacances en couple n’aient aucun but halieutique, je reste un passionné, et dans mon esprit, l’évocation de ce pays a fait « tilt » immédiatement. Bien loin de lui divulguer les images qui me passent dans la tête, le choix est fait. Nous irons en Suède.

Les semaines précédant notre départ, la négociation s’enclenche l’air de rien :

«- Tu sais, la Suède est un pays magnifique pour découvrir la nature, mais il est aussi très réputé pour la pêche. Tu crois qu’il resterait un peu de place dans les valises pour un peu de matériel de pêche ? 

- Tu as ta valise, tu peux l’organiser comme tu veux. Et nous aurons bien quelques heures à y consacrer sur les 2 semaines et demi que nous passerons sur place… »

Il ne m’en fallait pas plus ! Quelques recherches sur les poissons présents en mer du Nord, (Côte Ouest) en plus des habituels poissons d’eau douce que j’ai l’habitude de rencontrer en Lorraine également présents en Suède.

Résultats, les premières affaires prêtes pour le départ.

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Dès notre arrivée, je suis bluffé par les paysages vierges de toutes traces de l’Homme et par l’accueil toujours souriant et altruiste des suédois. Mais après une semaine de visite et de promenades aux alentours de la capitale, la pression de la passion devient plus en plus forte.

Après quelques heures de route depuis Stockholm, nous découvrons notre nouvel environnement pour les prochains jours avec vue sur la mer du nord. C’est trop! Je ne tiens plus en place et dès la première soirée, j’insiste pour aller nous promener le long de la côte, cannes en main.

Pour moi qui n’ai jamais pêché la mer auparavant, les débuts s’annoncent assez compliqués, mais la motivation est au zénith. Je monte la canne de ma moitié, et vise tout d’abord les maquereaux en montant un casting jig. Au bout de quelques minutes, c’est Pauline qui prendra le premier poisson, et quel poisson !!! Une superbe truite de mer !! Je n’en reviens pas !

pauline_1.jpgJe savais que cette espèce était présente sur ces côtes, mais je n’osais rêver, dès notre première pêche, pouvoir en toucher.  Pauline est aux ange, et encore toute tremblotante.

La suite est beaucoup plus compliquée. J’arrive à observer les truites qui suivent parfois nos leurres, sans pour autant déclencher une nouvelle attaque. La nuit tombe, il est temps de rentrer.

Il me faudra attendre la soirée suivante pour trouver la pêche ! Je monte un Illex Tricoroll 83HW couleur vairon sur ma ligne. Bon choix ! Il est de belle taille, et sa densité importante me permet de le lancer très loin tous en restant assez précis pour longer la bordure, sans m’accrocher. Les premiers suivis s’enchaînent mais les beautés suèdoises n’attaquent pas comme ça ! Pour les faire succomber à l'envie d'attaquer, il me faudra trouver une animation agressive, faite de twitchs prononcés pour désaxer la nage du Tricoroll.

truitemer1.jpg

Une fois la bonne animation trouvée, à chaque poste, une de ces magnifiques truites s’attaque à mon leurre ! C’est exceptionnel, les prises s'enchaînent mais les soirées sont toujours trop courtes avant la tombée de la nuit dans ces cas-là et nous devons rentrer.

truite.jpg

 

truitemer2.jpg

Sans compter que notre présence sur les bords de la mer du Nord touche à sa fin, et que nous rentrons à l’intérieur des terres.

Mais une autre espèce, d’eau douce celle-ci, m’attend dans un des nombreux lacs intérieurs… La suite bientôt !! 

 

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